vendredi 19 janvier 2024

ÉRIC-EMMANUEL SCHMITT, "M. IBRAHIM ET LES FLEURS DU CORAN" (pp. 64-75)

 



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QUESTIONS DE COMPRÉHENSION (10 points):


1. Quels sont les changements que Momo rapporte chez lui après avoir pratiqué la danse sacré (sama) des derviches? Quel est le rôle de M. Ibrahim dans cette transformation de son fils? Pour répondre à ces questions, lisez ci-dessous cette interprétation du texte (cfr. Yvonne Ying Hsieh, Eric-Emmanuel Schmitt ou la Philosophie de l'ouverture, pp. 97-100).


 

 

2. "Tu bouges trop, Momo. Si tu veux avoir des amis, faut pas bouger" (p. 66). Interprétez avec vos propres mots cette affirmation de M. Ibrahim. Qu'en pensez-vous?

3. Pourquoi M. Ibrahim n'a-t-il pas peur de mourir? Expliquez-le en vous appuyant sur le dialogue entre Momo et le moribond (pp. 69-70)

4. Expliquez les conseils de vie donnés dans le poème du mystique soufi Rumi (p. 71) et quel est le rapport que M. Abdullah établit avec la danse des derviches.

5. Rapportez d'une façon résumée ce qui se passe avec Momo après le décès de M. Ibrahim. Comment interprétez vous les dernières phrase du récit?


LEXIQUE (Rendez ces mots ou expression dans un langage standard):


-"J'avais la haine qui se vidangeait" (p. 65)

-"ça la fait bicher" (p. 74)

-"le plis et pris" (p. 74)




CAHIER DE CITATIONS:


-"Le coeur de le l'homme est comme un oiseau enfermé dans la cage du corps". Quand tu danses, le coeur, il chante comme un oiseau qui aspire à se fondre en Dieu (p. 64)

-"Tu vois, Momo! Ils [les derviches] tournent autour de leur coeur qui est le lieu de la présence de Dieu. C'est comme une prière". (pp. 64-65)

-"Plus le cors devient lourd, plus l'esprit devient léger" (p. 65)

-"Moi, je tournais comme un enragé. Non, en fait, je tournais pour devenir un peu moins enragé" (p. 66)

-"Tu bouges trop, Momo. Si tu veux avoir des amis, faut pas bouger" (p. 66)

-"Pour un homme normal, je veux dire un homme comme toi et moi [...] ta beauté, c'est celle que tu trouves à la femme" (p. 67)

-"Moi, je n'ai pas peur, Momo. Je sais ce qu'il y a dans mon Coran" (p. 69)

-"Momo, tu pleures sur toi-même, pas sur moi. Moi, j'ai bien vécu. J'ai vécu vieux." (p. 70)

-"Alors, aujourd'hui encore, quand ça ne va pas: je tourne" (p. 71)

-"Il y a des enfances qu'il faut quitter, des enfances dont il faut guérir" (p. 73)

-"Voilà, maintenant je suis Momo, celui qui tient l'épicerie de la rue Bleue, la rue Bleue qui n'est pas bleue" (p. 74)

-"Pour tout le monde, je suis l'Arabe du coin" (p. 75)

-"Arabe, ça veut dire ouvert la nuit et le dimanche, dans l'épicerie" (p. 75)


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